Accueil | Daniel Biga est né à Nice en 1940. Après cent métiers d'occasion, il s'est « rangé » dans un métier définitif et supportable, enseignant dans les écoles d'art de Nice, de Nîmes, puis de Nantes. Il est l' auteur d'une trentaine d'ouvrages dont Né nu et L'Amour d'Amirat (Le Cherche Midi), ainsi que Le poète ne cotise pas à la sécurité sociale (Le Castor Astral), une anthologie couvrant quarante années d'écriture (1962-2002). | ||
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1970 OISEAUX MOHICANS où es tu maintenant et que t'as fait le monde ? | ![]() | 1972 KILROY WAS HERE Pendant ta sieste du chômeur tu mélanges tout | ![]() |
1973 OCTOBRE
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![]() | 1975 ESQUISSES POUR UN AMÉNAGEMENT
DU RIVAGE DE L'AMOUR TOTAL sur l'arbre en fleurs une abeille se pose : ne pas rater l'instant suffit | ![]() | 1975 OC J'entends au loin le Missouri de l'Autoroute l'Oiseau de Feu d'Allez France me survole | ![]() | 1983 PAS UN JOUR SANS UNE
LIGNE Depuis toujours je connais cette odeur d'objets pauvres, simples, sans âge. |
1984 HISTOIRE DE L'AIR En bas, sur une vaste esplanade devants de grands hangars, il y a des cars vert et jaune. | ![]() | 1990 SUR LA PAGE CHAQUE JOUR Un événement particulier a-t-il mis en route le poète ? | ![]() | 1994 LE BEC ET LA PLUME Alors son cahier ouvert l'élève allait vers le bureau de la maîtresse. Là il attendait. | ![]() |
![]() | 1997 CARNET DES REFUGES Et puis j'ai cueilli de la menthe et nous avons bu du thé (fort, amer, sucré) | 1997 SEPT ANGES à la frontière du jour à la limite du chant | 1998 DETACHE-TOI DE TON CADAVRE ma maison flotte dans l'univers à la merci des dieux ou des titans des lutins et des vents | ||
1999 LE CHANT DES BATAILLES Que le souffle une seconde se stoppe et que chacun se penche sur lui-même. | 2002 L'AFRIQUE EST EN NOUS " que mon conte soit beau et se déroule comme un long fil..." | 2006 LA POÉVIE DE DANIEL BIGA 3 octobre 1968 à 22 heures Prends ton Vitascorbol mon chéri | |||
2007 LE SAUVAGE DES
QUATRE-CHEMINS « Dada ! Hue, dada... hue, cavau ! Va lou rouquinas ! Huhauhau ! » | 2008 IMPASSE DU PROGRÈS mais parfois même dans le boucan des hommes je peux trouver le silence de moi même | ||||